Une contrariété ?
Je fais partie de ces nanas qui ont une difficulté à gérer peines et tracas.
Je mens un peu. Je sais comment. Mais je connais pas la bonne manière en tout cas.
Chez moi, une contrariété = un achat. A la vue de ma penderie, vous verriez comme je suis tourmentée... (rien que de voir comme je suis tourmentée, je m'offrirais bien un truc pour me réconforter.)
La magie du net aidant, la compensation du malheur est hyper facile. Même pas le temps de changer d'idée avant de valider un achat pour aller chercher le numéro de la carte : vive cet enfoiré de Paypal !
En plus pour mon plus grand malheur (encore un, je suis pas aidée), je suis une vraie fifille (c'est pas pour rien que j'ai choisi coquette comme titre de blogue : cqfd), je peux aussi bien jeter mon dévolu sur un accessoire, un maquillage, un vêtement et les chaussures (c'est le Mal).
Tout ça ne fait pas que du bien à mes finances, évidemment (et j'espère bien trouver plein de sponsors à mon super blogue trop original pour me faire offrir mille trucs). Pour ma défense (ou pas), je rends pas mal des articles commandés... Des fois même, avant d'avoir reçu l'article en question, je pense déjà à le retourner (ça craint, vous en conviendrez).
Ahlala... Et vous, comment vous arrivez à compenser ? Vous avez le droit de me jeter la pierre ou de me rassurer en disant que vous faites pareil !
Genre, ça, est-ce que je vais sérieusement le garder ?